Il s’appelle Gary, il chante en duo avec le jeune Léo Rispal (révélation de l’école des stars sur Direct 8 et du Grand Show sur TF1) sur le titre « Le même que moi » qui passe en boucle à la radio, et il va sortir un album pour le printemps. Période promo pour Gary, […]
Il s’appelle Gary, il chante en duo avec le jeune Léo Rispal (révélation de l’école des stars sur Direct 8 et du Grand Show sur TF1) sur le titre « Le même que moi » qui passe en boucle à la radio, et il va sortir un album pour le printemps.
Période promo pour Gary, qui, évidemment, savait qu’une interview pour TrucdeNana serait le passage obligé.
Ultra sympa et plein d’humour, Gary Fico nous raconte tout, son boulot, ses passions, ses hobbies… et même ses techniques pour pécho ! Attention les filles, c’est l’interview vérité.
Questions Boulot
Pour commencer, dis m’en un peu plus sur toi ?
Moi c’est Gary, 24 ans, bientôt 25 au mois de juillet, quart de siècle, on commence à se faire vieux… J’habite à Issy-les Moulineaux en banlieue parisienne depuis toujours, j’ai fait mes études là-bas ; ma vocation pour la musique a commencé à peu près vers 15-16 ans avec mes premiers cours de chant, puis de fil en aiguille, j’ai voulu me professionnaliser. Petit à petit, la musique est devenue pour moi l’envie d’en faire un métier, plus qu’une simple passion, du coup on a enchaîné les maquettes, jusqu’à l’album.
Tu as fais un duo avec Léo Rispal. Qui a voulu travailler avec l’autre ?
A la base, c’est moi. J’étais en train d’élaborer mon album, et je recherchais un featuring, sauf que je n’avais pas particulièrement envie de faire ça avec un artiste de renommé. Du moins dans l’immédiat. Je voulais plutôt viser quelque chose d’original… Et c’est tombé par hasard sur Léo ! Un soir, j’étais en train de composer chez moi, la télé était allumée, et elle diffusait le concours l’école des stars où il y avait Léo, et je l’avais mise sur muet, parce que quand j’écris, je laisse la télé mais je l’écoute pas. Et là, je vois un p’tit bout de chou chanter et je me di, tiens je vais écouter, j’entends, et je me dis wouah ! Du coup j’ai arrêté d’écrire, et je me suis tapé toutes ses vidéos sur internet. Le lendemain, j’appelle mon directeur artistique, je lui dis que j’ai vu Léo à la télé, et que ce serait une super idée de featuring. Il écoute, et il est carrément de mon avis ! Coup de bol, il connaissait la directrice de casting du concours, donc ça s’est fait assez naturellement, il l’a appelée, il nous a mis en relation, etc…
Il y a pas mal de gens qui pensent que j’ai voulu récupérer Léo, alors que ça remonte au tout début de l’école des stars, ça fait presque un an et demi. On l’a fait venir sur Paris une première fois pour une rencontre, parce que je voulais vraiment baser ça sur l’artistique. Je voulais rencontrer les parents de Léo, et voir comment ça se passait dans sa tête… C’est un môme super équilibré, super cultivé, donc c’était formidable. Il était super partant pour faire un featuring !
Après son retour chez lui (car il habite à St Etienne), on a composé le morceau, et on a échangé par internet, parce qu’il était hors de question pour moi de lui imposer un titre. Je voulais qu’il valide tout, qu’il s’agisse de la musique, du texte, je voulais vraiment qu’il s’y retrouve autant que moi. Ensuite il est revenu pour enregistrer, puis il est reparti, puis il est revenu… Comme c’était les vacances il a fait un peu de promo, mais il ne faut pas oublier qu’il n’a que 10 ans. Moi, je ne suis pas là pour en faire un produit ou quoi que ce soit. Souvent le travail avec des enfants est mal perçu, comme si on essayait d’amadouer les gens, alors que pour moi c’était vraiment et avant tout un coup de cœur artistique, c’est-à-dire que ça aurait été pareil si ça avait été un autre artiste, de n’importe quel âge.
Ce qui m’importe dans ce projet, c’est que Léo kiffe, prenne du plaisir ! C’est vraiment une passion pour lui, donc on essaie de faire en sorte qu’il voit ça comme un vrai passe-temps et qu’il s’épanouisse au maximum.
Est-ce que comme dans votre chanson, Léo est « le même que toi » dans la vie ?
J’aimerais plutôt être comme lui ! On ne peut pas dire que Léo soit un enfant comme les autres, car tu sais à 10 ans, les passe-temps d’habitude c’est jouer aux Lego et aux playmobils, alors que pour lui, c’est aller au musée, lire des livres, écouter de la musique… Je te jure, il me fait même découvrir des trucs ! Souvent les adultes veulent lui parler comme à un gamin genre « oh t’es trop mignon », alors que tu peux lui parler vraiment comme à un adulte, il est super mature pour son âge, il sait ce qu’il veut faire, ce n’est pas un pantin qu’on trimballe. Il sait ce qu’il veut et ne veut pas, et c’est ça que j’adore chez lui. J’ai vraiment l’impression de travailler avec un adulte.
Lorsque les gens regardent la vidéo, on a souvent des retours où l’on me demande si c’est vraiment mon petit frère. Ce qui est beau, c’est qu’on a réussi à créer des vrais liens. J’adore ses parents et je considère Léo comme une petit frère de cœur. C’est un peu le petit frère que j’aurais aimé avoir ! Bon j’ai une petite sœur et j’en suis super content, mais un petit garçon pour faire des trucs de mecs, c’est aussi sympa. Avec Léo, on a vraiment noué une relation forte, et je pense que notre affection et notre rapprochement se ressentent dans la vidéo.
Un prochain duo ensemble ?
Il ne faut pas oublier qu’il n’a que 10 ans. A côté, il a une vie, des copains à l’école, il ne faut pas non plus lui imposer une vie à la Justin Bieber. Je ne lui souhaite pas d’être déjà sur les routes à 10 ans, il faut qu’il soit équilibré dans sa vie ! Donc, on ne va peut-être pas faire un autre duo tout de suite, mais oui, on a des projets. Comme la musique est une vraie une passion pour lui, on va travailler en parallèle sur des titres pour lui, créer un petit univers autour de Léo, mais sans complètement le chambouler non plus, car il est encore jeune. On va y aller doucement, prendre le temps.
Quelles sont tes influences musicales et quel va être le genre de ton album ?
C’est vraiment varié. D’ailleurs, c’est pour ça qu’on peut retrouver dans mon album une base très pop, avec des influences reggae, une pop un peu plus british, une pop électro, et un petit coté r’n’b. J’ai des copains de toute origine, africaine, maghrébine, j’ai une culture musicale très éclectique. Pour mon album, je me suis inspiré de tout ce qui rentre dans mes oreilles !
Tu as participé à l’écriture ?
J’ai écrit tout l’album ! Avec un ami de longue date avec qui j’ai commencé la musique, on a co-composé toutes les mélodies ensemble et en parallèle l’équipe de Dawty Music, représentée par mon manager, avec une structure basée à San Diego (un groupe de beatmaker), a réalisé toutes les prod de mon album. Cela s’est vraiment fait en famille !
Où trouves-tu l’inspiration, quels sujets t’inspirent ?
C’est assez vaste, des fois je me pose devant une feuille pendant six heures, j’écris un demi couplet, puis je vais me coucher parce que c’est de la merde ; et des fois en une heure j’ai tout écrit – le titre avec Léo je l’ai écrit en trois quart d’heure – ça dépend vraiment du moment.
Je m’inspire un peu de tout ! D’ailleurs j’en deviens parano car je suis constamment à la recherche d’inspiration. Après je ne sais pas si c’est un « truc de nana » (Rires) mais je trouve qu’on chante beaucoup sur l’amour, on tourne pas mal autour du pot, et justement j’ai voulu changer un peu, ne pas parler de ça, apporter une « bouffée d’air », sans prétention, ou même en parler, mais de manière détournée, très imagée. Je raconte une petite histoire avec toujours une petite morale à la fin. Mes inspirations : une affiche dans le métro peut m’inspirer, une personne qui tombe dans la rue et la réaction des gens peut m’inspirer… Je ne suis pas du genre à me poser devant ma feuille et me dire « tiens voilà je vais parler de ça ».
Oui enfin, une affiche dans le métro quand même, je ne vois pas trop comment l’inspiration te vient…
Ah mais si ! Par exemple « manger 5 fruits et légumes par jour », ça m’a inspiré pour une future chanson ; on n’a encore jamais fait de chanson sur la ligne, ce sera une première ! (Rires)
Tu préfères composer ou chanter ?
Je t’avoue que j’adore écrire, à la base je suis signé en édition chez MA publishing donc au-delà de mon métier d’artiste, je suis aussi auteur-compositeur, pour bosser avec d’autres artistes. Mais là je rentre dans un processus accéléré du développement de mon projet, donc c’est vrai que l’appel de la scène commence un peu à frapper à la porte ! On a des dates et des plateaux qui sont programmés, et j’ai vraiment hâte de les faire. Le but de ce métier, c’est aussi la rencontre avec le public, donc j’adore écrire, mais je t’avoue que je commence un peu à avoir envie de monter sur scène et présenter ce que je fais aux gens.
Une passion à part la musique ?
Le Foot ! Pas très original hein. Je suis supporter du PSG, mais je ne sais pas si tu peux le mettre dans ton interview (bien sûr que les marseillaises continueront à t’aimer!), sinon à Marseille on ne va plus m’aimer !
Plus jeune, avant de faire de la musique, j’étais éducateur sportif. C’est vraiment ce qui m’a permis de vivre, je gagnais de l’argent en entrainant des gamins à jouer au foot, et en même temps, je jouais aussi dans l’équipe sénior, donc j’avais aussi des primes de matchs. J’étais aussi animateur en centre aéré ! Comme tu vois j’adore travailler entouré d’enfants. J’ai toujours fait les deux en parallèle, que ce soit pour payer mes cours de chant, ou garder les pieds sur terre. On ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve!, Aujourd’hui je me retrouve à faire une interview pour TrucdeNana, mais demain… ?
Et j’ai tellement galéré… Tout ce qui passe aujourd’hui je le savoure à fond parce que demain tout peut s’arrêter. Jesais la difficulté pour en arriver jusque là, donc je prends ça comme du bonus (Rires) ! Je veux faire la part des choses, prendre comme une chance ce que je vis en ce moment.
Quel est ton groupe favori ou ton chanteur/chanteuse préféré(e) actuel(le) ?
Je ne suis pas vraiment fan de qui que soit, mais j’avoue que Bruno Mars, c’est quelqu’un que j’admire pas mal. Je le trouve archi fort au niveau des mélodies chantées, tout ce qu’il fait engendre des tubes, et j’aime bien cette philosophie de faire des titres pour toucher un maximum de personnes, c’est très généraliste. Quand tu chantes, c’est pour tout le monde, et s’enfermer dans un style, je trouve ça un peu égoïste, or, lui, il chante autant pour la gamine de 7-8 ans, que la maman de 30-35 ans, ça peut vraiment toucher tout le monde, en plus avec ses reprises acoustiques. Donc c’est un peu mon artiste du moment, je le trouve accompli dans tout ce qu’il fait.
Un endroit où tu rêve de te produire ?
Je fais les premières parties de Jenna Lee au Bataclan au mois de juin, et j’ai eu un coup de cœur pour cette salle. Moi j’adore tout ce qui est proximité ; après je ne vais pas cracher dessus si demain on me propose de faire un Zenith ou Bercy (Rires)! Mais le Bataclan, j’ai adoré la proximité avec le public. C’était que la première partie mais à un moment, pendant 10 minutes, j’ai cru que c’était mon concert ! Donc le premier truc qui me viendrait à l’esprit ce serait de faire le Bataclan avec Gary Fico écrit en petites lettres noires, pas forcément les grosses brillantes de l’Olympia ; mais le Bataclan je t’avoue que j’aimerais bien y retourner pour faire mon concert, inviter une première partie, et que le public soit aussi chaleureux avec cette personne, que celui de Jenna Lee l’a été pour moi.
Questions TDN :
Ton plus grand défaut ?
Je m’énerve super rapidement. Par exemple, tout à l’heure chez moi je ne trouvais plus mes lunettes, donc j’ai commencé à m’en prendre à tout le monde… Assez impatient aussi j’aime aussi que tout soit bien ordonné, carré, je suis assez maniaque sur ça.
Mais si je te dis tous mes défauts tu vas prendre toute la bande de ton magnéto tellement il y en a ! (Rires).
Ta plus grande qualité ?
Je suis quelqu’un de généreux. Dans mon projet, j’ai donné la chance à pas mal de personnes, que ce soit des photographes ou des gens qui font des clips, car je trouve que dans ce métier, il y a pas mal de gens qui sont perso. Sinon je suis gentil, et chambreur aussi.
Dragueur ou romantique ?
Ouais plutôt dragueur quand même. C’est-à-dire que j’aime bien tester. Après je ne vais peut-être pas forcément faire le premier pas ou quoi que ce soit, mais j’aime bien tester un peu mon pouvoir de séduction, quand ça marche on est plutôt content. J’aime bien voir si je plais ou pas, j’aime bien ces petits rapports de séduction, ce petit jeu qu’il y a au départ.
Mais t’es pas dragueur relou, genre ceux du métro rassure-moi…
Ah non non non ! Si dans les cinq minutes ça passe, je continue, je deviens peut-être même un peu romantique (Rires), et si ça foire, non, je m’en vais, et au contraire j’essaie de ne plus la croiser dans la soirée.
Justement, tu as une technique infaillible pour aborder une fille et la séduire ?
C’est vrai qu’à la base, je peux être quelqu’un d’assez rigolo, donc on va dire que moi je base plutôt ça sur l’humour, si la nana a envie de rigoler, ça peut marcher ; si elle a passé une sale journée, que son brushing n’a pas tenu pas à cause de la pluie, je pense que ça ne fonctionnera pas. Tu connais hein ? (Rires) Quand t’as fait ton brushing, qu’il pleut, et qu’un relou vient te parler !
Qu’est-ce qui t’attires chez une fille ?
Je ne cherche pas forcément la beauté parfaite, mon cœur chavire plus sur le charme, c’est ça qui me fait un petit truc. Comme on dit, un garçon n’est pas forcément beau, et une fille n’est pas forcément belle, mais elle dégage quelque chose, et moi c’est plutôt ça qui me touche chez une fille. Au niveau du comportement, il me faut une fille sociable. Vu que je sors pas mal, c’est un peu chiant quand tu traînes ta meuf ou ton mec en soirée et qu’il/elle ne parle avec personne, et qu’après tes amis viennent te voir en te demandant ce qu’il/elle a. Relou ! Moi j’aime les filles qui se fondent dans la masse, qui parlent avec tout le monde. J’apprécie qu’on vienne me voir pour me dire que ma copine est cool, qu’elle parle avec tout le monde. Donc c’est plutôt une fille comme ça que je rechercherai.
Le genre de fille qui t’insupportes ?
Les filles matérialistes. Pour le coup, avec la mini notoriété, je commence un peu plus ou moins à voir les filles qui le sont, celles qui te rappellent alors que tu avais oublié qu’elles existaient. Les filles matérialistes et superficielles, je déteste, et surtout, ça se sent à des kilomètres quand elles le sont même si elles essaient de le masquer. Les filles insociables aussi. Après je comprends, on est a Paris, elles se font siffler dehors toutes les cinq minutes dans la rue, mais on n’est pas tous chiants ! Donc les insociables et les matérialistes.
Tu as une copine ?
On a le droit d’avoir un joker ? Peut-être que j’en ai des tas, peut-être que j’en ai aucune. On va dire que j’ai ma vie professionnelle et ma vie privée. Donc en vérité, que j’en ai ou pas, je considère que les gens n’ont peut-être pas besoin de le savoir, ça fait partie de ma vie privée. Je n’ai pas trop envie de m’étendre sur le sujet. Je suis Gary Fico la journée jusqu’à 19h, et le soir, je suis Gary Fico en privé, avec mes amis, ma copine ou non, ma famille… Donc c’est pour ça que je te dis un petit joker sur ça.
Plus de succès depuis qu’on te connaît ?
Plus de succès je ne sais pas, mais en tout cas j’ai plus de brèches qui s’ouvrent oui (Rires) ! Je me demande si je suis devenu un peu plus beau en deux semaines, ce qui est peu probable. Mais oui, forcément tu sens un peu plus d’engouement, les filles sont un peu plus intéressées. Elles sont aussi généralement plus charmantes que d’habitude, et ce genre de filles c’est justement tout ce que je déteste. A la limite je préfère une fille indifférente, qui s’en fiche, et alors je vais peut-être prendre les devants, aller lui parler et découvrir vraiment un charme chez elle. Tu sais, j’ai besoin de quelqu’un qui soit un peu dans le retrait, pas intéressé, en tout cas que ça ne me saute pas aux yeux, qu’elle ne cherche pas après le Gary Fico de la scène, mais le Gary Fico de la vie de tous les jours.
Tu accordes beaucoup de temps à ton look ?
Je suis un fou de chaussures, j’ai une centaine de paires ! Je sais plus ou moins l’image que j’ai envie de donner, donc après c’est vrai que tous les matins, je ne mets pas 45 minutes à m’habiller ; une fois par mois peut-être ça peut arriver quand tu dois aller en soirée, et que tu te dis « c’est pas possible, je ne peux pas mettre ça ! ». Le problème, c’est que je me lasse assez vite des affaires, c’est-à-dire que j’achète un nouveau vêtement, je vais le trouver génial deux semaines, et après je ne le supporte plus. Je pense que c’est un peu comme les filles (Rires), sauf que vous c’est deux jours et pas 2 semaines !
Combien de temps dans la salle de bain ?
Là comme j’ai un peu la touffe, je mets des bérets et des chapeaux, comme ça déjà il n’y a pas de coupe, ça me fait gagner des minutes, et grosso modo, après la douche je mets 20 minutes. Mais ce que je fais, c’est qu’avant d’aller à la douche, je prépare mes affaires, comme ça en sortant, je mets mon caleçon, mes chaussettes… tout est prêt ! Enfin mon boxer, parce que si je dis caleçon je vais me faire lyncher (Rires), et pas les chaussettes avec les bandes de couleurs, non ça c’est horrible, j’en mets des un peu classes quand même. Donc généralement quand je sors de la douche, je mets 10 minutes comme tout a été préparé à l’avance, et je ne me prends pas la tête à tout retourner chez moi, parce que sinon ma mère elle gueule si je laisse tout traîner par terre…
Ta boutique favorite ?
Mon QG ce serait plus vers Châtelet, vers la rue du Faubourg St-Honoré et la rue Tiquetonne. Carhartt, Vans, Kiliwatch, Chez Maman pour les montres, Episode pour la friperie…
Tu es du genre à prendre soin de toi ? (crèmes & co)
Pas du tout ! Pourtant quand je fais des clips, les maquilleuses me disent tout le temps d’hydrater ma peau car elle est vachement sèche. Je dis toujours « ouais ouais », je l’ai fait une fois, et après plus jamais. Pour l’instant ça va, je n’ai pas trop de boutons.
Et ça ne te dit pas ?
Après je ne trouve pas que ça fasse efféminé ou quoi que ce soit, c’est juste que je n’en ressens pas le besoin du tout .
Infos Pratiques :
Le single de Gary Fico « Le Même que Moi » en duo avec Léo Rispal est disponible.
Sortie de son album solo au printemps 2011. Gagnez un album dédicacé en jouant ici !
Par Elodie Cohen Solal
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